Ce qui arrive à la Suisse depuis la fin de la guerre, c'est une sorte de paupérisation de la mentalité de ses citoyens et de ses gouvernements.
Elle rate tous les trains qu'on lui propose de prendre, son modèle de démocratie participative montre ses limites, et à force de clamer sa neutralité et son non-alignement elle s'isole de tous les évènements novateurs et progressistes.
La seule chose qu'on lui reconnait, c'est son amour pour l'argent, son égoisme forcené, teinté d'une grande hyprocrisie.
Elle rate tous les trains qu'on lui propose de prendre, son modèle de démocratie participative montre ses limites, et à force de clamer sa neutralité et son non-alignement elle s'isole de tous les évènements novateurs et progressistes.
La seule chose qu'on lui reconnait, c'est son amour pour l'argent, son égoisme forcené, teinté d'une grande hyprocrisie.
La France avance dans la douleur, dans les cris et les critiques, mais elle avance et se projette dans le futur.
La Suisse en comparaison semble faire du sur place entre un passé totalement idéalisé et un futur totalement indéfini.
Dans un sens le bordel français est plus efficace que l'organisation Suisse.
Dans un sens le bordel français est plus efficace que l'organisation Suisse.
Manuel
#492
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